Du grec «
aïtia », cause, et «
pathos », souffrance, l’Étiopathie s’attache
à rechercher l’origine de la maladie pour l’éliminer
par une méthode de soins qui, au-delà des symptômes,
s’attaque directement aux causes pour les faire
disparaître. Jeune science innovante promise
à un grand avenir, l’Étiopathie diffère de toutes
les autres méthodes médicales.
Médecine mécaniste, l’Étiopathie constate que
le corps humain, fruit de millions d’années
d’évolution, doit fonctionner correctement.
Si ce bon état de marche est perturbé, si un
dysfonctionnement apparaît quelque part, l'étiopathe
cherche à en identifier la cause et à la réduire
par des techniques spécifiques ou à orienter
le patient vers le traitement approprié.
Le succès de l’Étiopathie
est dû :
1.À sa méthode
d’analyse : l’Étiopathie permet de trouver l’origine
réelle d’un mal, c’est-à-dire sa cause, sans
la confondre avec ses effets – inflammation,
troubles fonctionnels, présence d’agents infectieux,
douleurs, etc., et ce, en s’articulant sur les
méthodes et modes de raisonnement utilisés dans
toute recherche scientifique.
2.À ses traitements
précis et rapides : l’Étiopathie reprend les
gestes ancestraux, enrichis de génération en
génération, et les revisite à la lumière des
connaissances anatomiques modernes.
Bien au-delà des seules douleurs articulaires,
névralgiques ou obstétricales, l’Étiopathie
s’applique à la mécanique du corps humain tout
entier, à son bon fonctionnement et, partant,
à un très grand nombre d’affections dont il
peut être victime.
Le praticien étiopathe, pour se former à cette
discipline, aura consacré six années à l’étude
en profondeur du corps humain et des lois qui
le régissent, aux sciences et aux méthodes permettant
d’identifier les causes des pathologies – ainsi
qu’à l’apprentissage du geste pertinent et des
différentes techniques manuelles qui lui permettront
de résoudre les problèmes de ses patients.
Étiopathie et autres
pratiques
L’Étiopathie se différencie de toutes les autres
approches médicales par son approche systémique,
c’est-à-dire en considérant le fonctionnement
des organes et des appareils du corps humain
dans leurs différentes interactions. Il en découle
une façon tout-à-fait particulière d’analyser
les causes des phénomènes pathologiques, et
de conduire ses traitements de chirurgie non
instrumentale.
Pour analyser ces causes, outre les connaissances
d’anatomie, de physiologie et de biologie, cette
méthode utilise des “outils” comme le déterminisme,
la systémique et la cybernétique, grâce auxquels
le diagnostic s’avère d’une rigueur exceptionnelle.
Car le principe même de l’Étiopathie est d’établir
le bon diagnostic avant d’envisager un traitement
quel qu’il soit. Ainsi, l’Étiopathie est d’abord
une méthode, une méthode éprouvée d’analyse
de la cause des maux, avant d’être une technique,
fût-elle exceptionnelle. On ne saurait donc
confondre l’Étiopathie avec toute autre technique
manuelle.
Et si l’Étiopathie se distingue des autres méthodes
manuelles par l’innocuité et le haut niveau
d’évolution de ses techniques, issues de la
nuit des temps, elle s’en éloigne encore d’avantage
par l’analyse et la pertinence du geste…
Sur le plan général
L'Étiopathie est une recherche fondamentale
visant à établir une relation de causalité entre
les phénomènes pathologiques présentés par les
systèmes biologiques, et leur structure, ceux-ci
étant considérés comme des systèmes de systèmes
en interaction avec leur milieu extérieur. Sur le plan des applications thérapeutiques
L'Étiopathie est une méthode visant à rétablir
la stabilité relative des systèmes biologiques
en agissant soit sur leurs déséquilibres structuraux
acquis, soit sur leurs variables d'entrée inadaptées
au maintien de leur stabilité.
Le terme « Étiopathie
» a été créé et déposé à l’O.M.P.I en
1963 par Christian Trédaniel, pour désigner
la méthode d’analyse logique de la pathologie
qu’il a élaborée et qui permet de donner une
assise scientifique à l’art du reboutement resté
dans la tradition orale et empirique depuis
le début des temps.
Le traitement étiopathique
Le traitement étiopathique
vise essentiellement à harmoniser les rapports
structuraux existant entre les éléments des
systèmes biologiques et à normaliser les variables
d'entrée indispensables à leurs bonnes fonctions.
Il existe différentes possibilités d'envisager
ou de définir ce qu'est l'état de bonne santé.
Pour l'étiopathie, il consiste dans le maintien
de la fonction exotrope du système biologique.
Or, la normalité de cette fonction exotrope,
c'est-à-dire le respect qualitatif et quantitatif
des variables de sortie de chaque sous-système
et celles du système global, ne peuvent être
respectées que si l'intégrité de la structure
de ces systèmes et les rapports entre leurs
éléments sont respectés. C'est la première des
conditions. Si elle est respectée, il faut également
que la fonction endotrope de ces systèmes soit
normale, c'est-à-dire, que les variables d'entrée
qui la caractérisent soient conformes au besoin
du système et ne franchissent point ses seuils
d'adaptation. Ce sont ces deux conditions nécessaires
et suffisantes pour que l'état de bonne santé
soit assuré et que la programmation génétique
de l'individu soit respectée.
La correction des lésions étiopathiques structurales
et extra-somatiques, permet de parvenir à ce
but. Lorsque l'atteinte structurale est irréversible,
seuls la chirurgie instrumentale ou l'appareillage
chimique pour suppléer à une fonction, peuvent
être envisagés.
Le traitement étiopathique de normalisation
structurale s'accomplit par un acte manuel.
Cette chirurgie se pratique sans instrument
et sans appareil.
L'Étiopathie pour
qui ?
Un étiopathe, exerçant en libéral, n’a pas le
droit à l’erreur. Il est donc formé à établir
la différence entre ce qui est de sa compétence
et ce qui ne l’est pas.
En effet, si l’analyse étiopathique ne connaît
pas de limite, les traitements étiopathiques,
eux, en ont. Un étiopathe sait, par exemple,
que les pathologies irréversibles n’entrent
pas dans son champ d’action, de même que les
atteintes infectieuses graves. Il saura également
orienter, si nécessaire, vers un traitement
chirurgical – à savoir que dans la plupart des
cas, il permet à son patient d’en faire l’économie.
Pour le reste, son domaine d’intervention est
particulièrement large (voir les principales
indications d’un traitement étiopathique). C’est
pourquoi il voit toujours plus de malades lassés
de l’inefficacité d’autres pratiques médicales
s’adresser à lui.
L’étiopathe reçoit ainsi des hommes et des femmes
de tout âge, atteints de toutes sortes de douleurs
et d’affections, qu’il soulagera en douceur.
Ses traitements, non traumatisants, sont également
indiqués pour les enfants qu’il saura particulièrement
préserver.
Le bon diagnostic
pour la bonne thérapeutique
L’Étiopathie est avant tout une méthode scientifique
rigoureuse, ce qui lui permet d’obtenir des
résultats positifs et constants. De tels résultats,
parfois spectaculaires, sont dus, par-delà les
techniques employées, à la pertinence du diagnostic
causal effectué par les étiopathes.
Pour l’étiopathe, en effet, soigner un mal,
c’est en éliminer la cause réelle, cause qu’il
s’attache à découvrir en tout premier lieu.
Le diagnostic étant rigoureux, le traitement
le sera aussi, puisqu’il sera adapté à la cause
et pensé en fonction de celle-ci.
Seule cette démarche permet à l’étiopathe d’opérer
par chirurgie non-instrumentale (manipulation)
et de soigner sans médicaments, sans droguer,
voire empoisonner.
Primum non nocere
En aucun cas, les techniques utilisées en Étiopathie
ne peuvent aboutir à des actes de mobilisation
forcée des articulations, gestes dangereux pour
les malades.
Source : Institut International d'Étiopathie
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