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Iridologie Une technique
de Bien-être |
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Définition
L’iridologie est un diagnostic de
santé par étude de l’iris de l’œil (la
partie colorée) Votre œil est comme
un écran de contrôle de votre corps
et tout ce qui s’y passe s ‘y inscrit.
Des dizaines et dizaines de signes,
très variés, rendent chaque empreinte
irienne unique et personnelle. Tous
les signes : la couleur de vos yeux,
les tâches, les fibres représentent
une mine d’informations.
Doù vient l'iridologie ?
C’est Ignace PECZELY, qui le premier
posa les fondements de l’Iridolgie.
Ce médecin Hongrois est né le 16 janvier
1826 et l’anecdote qui oriente vers
ses recherches est devenue légendaire
« Il a 11 ans lorsqu’il est attaqué
par une chouette apeurée et aveuglée
par la lumière du jour. En se défendant,
il lui casse involontairement une patte.
Ayant pris l’oiseau de nuit pour le
calmer, il observe l’apparition soudaine
d’un trait clair dans l’iris d’un de
ses yeux, du même coté que la patte
blessée. Ce trait rayait l’oeil de la
pupille au bord extérieur de l’iris.
Peczely n’oubliera plus jamais cette
étrange correspondance entre la blessure
et l’apparition immédiate d’un signe
sur la trame irienne ».
Dépistage
iridologique des déséquilibres mentaux
d'origine névrotique
La pathologie mentale est en augmentation
constante depuis 50 ans, et le 1/3 des
mises en invalidité est dû à des déséquilibres
mentaux d'origine névrotique.
Dans notre civilisation mécanicienne,
marquée par le stress et un rythme de
vie infernal, c'est un problème d'actualité.
Au travers de l'iridologie, véritable
miroir de l'homme dans son intégralité,
on prend conscience que nos maladies
sont des dérèglements qui touchent un
bloc inséparable où se mêlent le physique
et le moral, réagissant l'un sur l'autre
par l'intermédiaire du système sympathique.
Les troubles que présentent les malades
s'accompagnent d'angoisse, d'asthénie,
d'insomnie, de peur. Cette anxiété a
comme point de départ le sympathique.
Le système sympathique coordonne tous
nos organes en une solidarité épaisse
et indissoluble liant notre vie intime
organique et viscérale à notre vie supérieure
d'homme affectif et pensant.
Le Dr CANNON a démontré expérimentalement
l'existence des centres de notre cerveau
sympathique où s'élabore notre inconscient
émotif et d'où partent des impulsions
transmises à notre cerveau conscient
chargé de les apprécier, de les contrôler,
de leur donner satisfaction.
Cette collaboration nécessaire à notre
comportement vital est troublée par
les nécessités de la vie extérieure
; les émotions répétées, le surmenage,
les agressions traumatiques extérieures
des stress fatiguent le sympathique
et les glandes endocrines. Il en résulte
un malaise qui constitue l'anxiété.
Notre organisme est de par sa constitution
voué à une instabilité quasi perpétuelle.
Il est constitué de 2 composants d'action
contraire :
un accélérateur actif et moteur
le sympathique proprement dit ;
l'autre frénateur, le parasympathique.
Comme l'a écrit le Professeur LANDRY,
ce sont 2 plateaux d'une balance qui
ont sans cesse besoin d'être mis en
équilibre.
Devant les agressions contre notre santé
physique, les affections contre notre
affectif émotif, par l'anxiété qui nous
hante de ne pouvoir satisfaire nos désirs,
nos aspirations au bonheur matériel,
le cortex perd son pouvoir régulateur
face au diencéphale cerveau végétatif.
Il s'ensuit des déséquilibres vago-sympathiques
qui sont des dystonies neurovégétatives
par excitation élective ou prépondérante
soit du système sympathique, soit du
système parasympathique ou bien souvent
des dystonies mixtes avec intrication
ou alternance des symptômes, les maladies
présentant des troubles d'hyperémotivité,
anxiété, nervosisme irritabilité, troubles
du caractère.
L'oeil constitue un organe autonome,
dans le corps humain, innervé par des
milliers de ramifications provenant
des systèmes nerveux sympathiques. Les
organes du corps sont intimement liés
à la structure de l'iris par l'intermédiaire
des nerfs, des vaisseaux et des artères.
Il est donc exposé à subir le retentissement
non seulement de toutes les affections
du système nerveux dont il est une émanation,
mais aussi des maladies générales, organiques
ou chroniques.
Quelles sont les zones de l'iris
qui nous permettent de déterminer la
polarité du système sympathique :
le cercle pupillaire moyen siège
de la systématisation parasympathique;
le cercle pupillaire externe
adossé à la collerette siège du ganglion
parasympathique préviscéral ;
le cercle de la collerette qui
est une aire orthosympathique ;
le cercle ciliaire moyen reconnaissable
par les anneaux de Crampes (orthosympathicotonie).
Le jeu pupillaire est assuré par la
contraction du sphincter, central à
commande parasympathique ; du dilatateur
périphérique innervé par l'orthosympathique
:
- Le myosis bilatéral (rétréssissement
pupillaire égal ou inférieur à 2 mm
.) est l'indice d'une vagotonie, sujet
épuisé nerveusement et dépressif.
- La mydriase bilatérale (élargissement
pupillaire égal ou supérieur à 6 mm
.) signe une orthosympathicotonie, sujet
angoissé et bouillonnant.
- L'hippus (exagération des contractions
pupillaires physiologiques) traduit
une dystonie neurovégétative : on le
trouve chez les instables, les craintifs.
Les phénomènes corpusculaires intra
pupillaires ont été mis en évidence
par le Docteur SCHMIDT DE GENEVE. Il
s'agit de petits points blancs et brillants
ressemblant à la voix lactée, qui parsèment
le champ pupillaire. Ils sont la traduction
d'un signe psychique accompagnant souvent
les dépressions nerveuses.
Les déformations pupillaires signalées
par Rudolf SCHMABEL sont liées à des
perturbations vasculaires uniquement
cérébrales. Leur localisation nous donne
des indications précises. (asthénie,
chagrin refoulé, tentative de suicide,
manque de concentration, délire de persécution,
etc.).
Dans le cercle pupillaire moyen, siège
de la systématisation parasympathique,
nous trouvons :
- L'image en cocarde qui est une dépigmentation
près du rebord pupillaire. On la retrouve
chez de grands anxieux névropathiques;
- La collerette en halo, image à deux
cercles concentriques est l'indice d'une
dystonie neurovégétative à polarité
parasympathique (état dépressif, mélancolie,
circulation périphérique insuffisante,
pouls lent, tension basse, possibilité
d'extrasystole, hyperchlorydrie).
Dans l'iris, la collerette qui est une
aire orthosympathique représente la
ligne de démarcation la plus importante.
Elle est située normalement à un tiers
de la distance de la pupille et à 2/3
de la périphérie. Sa forme doit être
circulaire, régulière et bien placée
dans sa zone attribuée.
Son accroissement est proportionnel
au vagotonisme du sujet, au maximum
il donne le myosis.
Son rapprochement près de la pupille
va de pair avec un renfoncement de l'orthosympathicotonie.
Au maximum il donne la mydriase. A toute
diminution de sa surface correspondante
un état spasmodique de l'organe sous-jacent.
Nous sommes en présence d'une dystonie
avec prédominance d'hyper sympathicotonie,
hyperémotivité, anxieuse, tachycardie,
palpitations, anorexie, ballonnements,
sensibilité du plexus solaire.
Le plan de raccordement de la collerette
avec la zone pupillaire permet un dépistage
précis (collerette en entonnoir, collerette
en cratère, collerette en jatte, en
double cassis). Les couleurs de la zone
ciliaire, les pigmentations, les fentes
radiaires, les accidents circulaires
de la collerette, les hétérochromies
sectorielles, sont autant d'indications
dont devra tenir compte le praticien
iridologue, pour diagnostiquer les déséquilibres
mentaux d'origine névrotique.
Cette diapositive nous apporte la preuve
que l'excitation, la colère, l'exubérance,
la haine, l'angoisse proviennent d'un
déséquilibre entre le cerveau spirituel
(cortex) et le diencéphale (cerveau
végétatif) parce que le sang charrie
jusqu'au cortex une importante surcharge
toxémique et la première cellule à souffrir
c'est celle du cortex qui perd son pouvoir
régulateur face au diencéphale.
Les humeurs sont constituées par le
sang, la lymphe. Les liquides intra
et extra cellulaires sont pour ainsi
dire l'huile où baigne le mécanisme
du système sympathique. On conçoit donc
l'importance de la situation dans laquelle
se trouvent les humeurs. Une variation
imperceptible de la température et de
leur composition chimique peut entraîner
des troubles très graves.
Le système sympathique fait travailler
les organes. Les organes travaillent
avec les apports de la respiration et
de la digestion pour faire un liquide
sanguin normal, et le liquide sanguin
a pour fonction d'entretenir la vitalité
et l'énergie du système sympathique.
La vie de l'individu est assurée par
une coordination générale.
Lorsque l'on aborde le problème de la
santé de l'homme sur quelque plan que
ce soit, on doit toujours tenir compte
de tous les facteurs qui conditionnent
sa vie et son équilibre. Il y a union
absolue entre le physique et le mental.
Si l'équilibre d'une seule partie du
corps se rompt, tout l'ensemble vacille,
mais si l'équilibre d'ensemble est réalisé,
l'organisme connaît la santé dans le
sens le plus large.
Parmi les milliards de cellules qui
composent notre organisme, il n'en existe
pas une qui ne soit soumise à l'action
du sympathique. Sachons donc offrir
à notre ami le plus fidèle, les meilleures
conditions de travail sur le plan physique
et moral, en ayant une hygiène de vie
naturelle, tributaire d'une alimentation
rationnelle, de l'art respiratoire,
du sommeil, de la lutte contre la sédentarité,
de l'équilibre émotionnel, du repos.
Ce n'est qu'à ce prix que l'on peut
stopper l'évolution des maladies mentales
d'origine névrotique.
Source : Jean-Pierre LANCEL - Article publié
sur www.iridologie.com: Enseignement
et information sur l'iridologie.
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