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Environnement et cancers

• Environnement

Le rôle de l’environnement (milieux de vie et de travail) dans l’apparition de certains cancers est aujourd’hui reconnu et selon l’InVS, 5 à 10% des cancers seraient liés à des facteurs environnementaux. Ces facteurs environnementaux (agents chimiques, physiques, biologiques) peuvent être présents dans l’air, les sols, l’eau, ou liés à des expositions professionnelles ou encore à des agents infectieux (virus, bactéries, parasites). Face à ces risques, des mesures de santé publique ont été mises en place afin de limiter l’exposition des populations à des facteurs de risques cancérigènes présents dans l’environnement. Elles sont intégrées dans le Plan cancer 2009-2013 et le Plan National Santé-Environnement 2 (2009-2013).

5 à 10% des cancers seraient liés à des facteurs environnementaux

Il est possible d’agir pour diminuer l’incidence de certains cancers, par la réduction ou l’élimination des facteurs de risque de cancers. Des facteurs de risque liés au mode de vie, à l’environnement ou au milieu professionnel, ont été clairement identifiés comme le tabac, l’alcool, le manque d’exercice physique, certains agents physiques, chimiques ou infectieux. D’autres, tels les champs électromagnétiques liés à l’usage des téléphones mobiles, font encore l’objet d’études.

Les liens entre certains cancers et des substances ou des situations à risque présentes dans l’environnement font l’objet de plus en plus de travaux et publications. Certains de ces liens sont avérés, d’autres en cours d’investigation, quand d’autres sont plus appréhendés ou pressentis que vérifiés scientifiquement. Des mesures de santé publiques ont été prises afin de mieux connaître et de limiter l’impact de l’environnement sur la santé.


Fiche repère Environnement et cancers (1.17 MB)

Le cancer du col de l’utérus en France. Etat des lieux en 2010 (4.04 MB)


• Particules fines

Les relations entre exposition à long terme aux pollutions atmosphériques et cancer du poumon ont fait l'objet d'une dizaine d'études épidémiologiques. Les particules fines désignent généralement les particules de diamètre inférieur à 2,5 µg présentes en suspension dans l’atmosphère. Elles constituent l’un des principaux facteurs de risque sanitaire lié à la pollution de l’air. Leurs effets sur la santé dépendent de leur granulométrie (les plus fines sont potentiellement plus toxiques car elles peuvent pénétrer profondément dans les poumons) et de leur composition chimique (elles peuvent avoir des propriétés mutagènes et cancérogènes). Le CIRC les a classées dans la catégorie 2A (cancérogènes probables).Déclinant les engagements 149 et 151 du Grenelle Environnement, la fiche-action 1 du Plan National Santé Environnement 2 2009-2013 prévoit un « Plan particules » qui comporte 4 actions et 3 sous-actions.


Fiche repère Risques de cancers et particules fines (1.01 MB)


• Agents infectieux

Certains agents infectieux (virus, bactéries, parasites) peuvent provoquer ou favoriser la survenue d’un cancer. Plusieurs d’entre eux ont été classés cancérogènes ou cancérogènes probables par le CIRC. La prévention doit donc être mise en avant, notamment par la vaccination quand elle existe.

Selon l’OMS, les agents infectieux seraient responsables de 18% des cancers dans le monde, la plupart se produisant dans les pays en développement.
Parmi les principaux agents infectieux impliqués dans le développement d’un cancer on peut citer :

• les virus de l’hépatite B et C (HBV-HCV) peuvent favoriser la survenue de cancers du foie. L’infection chronique par HBV ou HCV est classée cancérogène pour l’homme par le CIRC (groupe 1) ;

• les papillomavirus humains (HPV) sont associés au développement des cancers du col de l'utérus et de l’oropharynx. L’infection par HPV 16 et 18 est classée cancérogène pour l’homme par le CIRC (groupe 1) ;

• le virus d'Epstein-Barr (EBV) peut provoquer des lymphomes (de Burkitt, maladie de Hodgkin, lymphomes malins non-hodgkiniens) et des cancers du nasopharynx (classé cancérogène pour l’homme par le CIRC, groupe 1) ;

• le virus du sida (VIH) peut entraîner des sarcomes de Kaposi et des lymphomes malins non-hodgkiniens. L’infection par le VIH 1 est classée cancérogène pour l’homme (groupe 1), celle par le VIH2 cancérogène probable (groupe 2B) ;

• certaines bactéries peuvent aussi être à l’origine de cancers : la plus connue est l'Helicobacter pylori, qui peut favoriser la survenue d’un cancer de l'estomac (l’infection à Helicobacter pylori est classée en groupe 1 du CIRC) ;

• les toxines sécrétées par certains agents biologiques, comme les mycotoxines et certaines aflatoxines pour les cancers du foie.

Certains agents pathogènes ne provoquent pas directement un cancer, mais ils sont à l’origine d’un état infectieux chronique qui en favorise l’apparition. Le risque de développer un cancer à partir d’un tel agent peut être aggravé lorsque d’autres facteurs, notamment d’ordre génétique (prédisposition à certains cancers) ou liés aux modes et conditions de vie (tabac, alcool, alimentation), se surajoutent.

• Pesticides

Les pesticides sont des substances ou des préparations à usage agricole, destinées à protéger les végétaux, et utilisées pour la prévention, le contrôle ou l’élimination d’organismes jugés indésirables tels que plantes, animaux, champignons, bactéries. Très largement utilisés, ils ont un impact sur l’environnement et certains sont mis en cause dans la survenue de cancers.

Des mesures de santé publique ont été mises en place au plan national et européen pour améliorer les connaissances sur leur mode d’action, sur l’exposition des populations ainsi que pour diminuer et sécuriser leur usage.


Fiche repère Risques de cancers et pesticides (890.76 kB)


• Perturbateurs endocriniens

Selon l’OMS, « les perturbateurs endocriniens sont des substances chimiques d’origine naturelle ou artificielle étrangères à l’organisme qui peuvent interférer avec le fonctionnement du système endocrinien et induire ainsi des effets délétères sur cet organisme ou sur ses descendants. »

Bien que les effets sur la santé humaine de l’exposition à de faibles doses de perturbateurs endocriniens soient sujets à controverse, un certain nombre d’affections sont aujourd’hui suspectées d’être la conséquence de l’exposition à ces substances, tels les cancers hormono-dépendants.

C'est ainsi qu'une étude publiée en juin 2010 par une équipe de l'INSERM dans le Journal of Clinical Oncology montre une possible association entre une exposition au chlordécone et la survenue d'un cancer de la prostate.


Fiche repère Risques de cancers et perturbateurs endocriniens (359.18 kB)


• Exposition aux rayonnements UV

La surexposition aux rayonnements ultraviolets naturels et artificiels représente un facteur de risque majeur dans le développement des cancers de la peau. L'évolution, ces 30 dernières années, de la pratique du bronzage est corrélée à une augmentation forte des cancers cutanés et en particulier des mélanomes, dont l'incidence a plus que triplé dans la période 1980-2005. La réduction des expositions aux UV et l'adoption de nouvelles habitudes de prévention représente donc un enjeu sanitaire important. En Juillet 2009, le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) a classé « cancérogènes certains pour l'homme (groupe 1) » les rayonnements UV solaires ainsi que les rayonnements émis par les installations de bronzage artificiel. Ces conclusions ont fait l'objet d'une publication dans « The Lancet Oncology » (2009, vol.10 ; 751-752). Dans le cadre de l'action 12-5 du Plan cancer 2009-2013 portant sur le renforcement de la prévention à l'exposition aux rayonnements UV naturels et artificiels, l'INCa a publié un état des lieux sur les risques de cancer encourus lors de la pratique du bronzage par lampe UV. Depuis 1998, le Syndicat National des Dermatologues Vénéréologues organise une journée nationale de dépistage et de prévention des cancers de la peau. Cette journée, soutenue par l'INCa depuis 2005, a eu lieu le 27 mai 2010. Par ailleurs l'Inpes lance chaque année, pendant la période estivale, une campagne de prévention sur les risques solaires dans le but de sensibiliser la population et de modifier les comportements à risque. La campagne 2010 a débuté le 19 juin


Fiche Repère Rayonnements ultraviolets et risques de cancer (juillet 2010) (1.85 MB)


• Substances chimiques

Depuis les années 1930, la production mondiale de substances chimiques a été multipliée par 400. Certaines d’entre elles peuvent avoir des effets nocifs importants sur l’environnement et la santé, même à faible dose. Parmi celles-ci, on peut citer les amines aromatiques et les goudrons de houille utilisés en milieu professionnel, impliqués dans les cancers de la vessie (2 à 14 % des cas), le benzène auquel sont attribuées 5 à 18 % des leucémies, divers produits (bois, nickel, chrome…) responsables de cancers naso-sinusiens, les perturbateurs endocriniens, telles les dioxines suspectées d’être associées au cancer du sein et aux hémopathies malignes ou encore des médicaments dont les résidus sont présents dans l’environnement.

Des mesures de santé publique ont été prises pour limiter l’exposition des populations, sécuriser l’utilisation de ces substances et accroître les connaissances à leur sujet.

Le radon est un gaz radioactif naturel produit notamment par les roches granitiques et volcaniques. Transparent et inodore, il est présent partout à la surface de la planète, il représente la première cause d’irradiation naturelle en France, et on estime qu’il y est responsable, chaque année, de 2500 à 3500 décès par cancer du poumon. Il peut s’accumuler dans les espaces clos, dont les maisons. Il faut donc aérer et ventiler les bâtiments exposés. La mesure 12.6 du Plan cancer 2009-2013 prévoit de « Mieux informer sur les risques liés au radon », et l’action 40 du PNSE 2 a pour objet la réduction de « l’exposition au radon dans l’habitat ». Cette action prévoit notamment l’élaboration d’un nouveau plan d’action sur le radon pour la période 2009-2013.


Fiche repère Cancers et substances chimiques (1006.98 kB)


• Radon

Le radon est un gaz radioactif naturel produit notamment par les roches granitiques et volcaniques. Transparent et inodore, il est présent partout à la surface de la planète, il représente la première cause d’irradiation naturelle en France, et on estime qu’il y est responsable, chaque année, de 2500 à 3500 décès par cancer du poumon. Il peut s’accumuler dans les espaces clos, dont les maisons. Il faut donc aérer et ventiler les bâtiments exposés. La mesure 12.6 du Plan cancer 2009-2013 prévoit de « Mieux informer sur les risques liés au radon », et l’action 40 du PNSE 2 a pour objet la réduction de « l’exposition au radon dans l’habitat ». Cette action prévoit notamment l’élaboration d’un nouveau plan d’action sur le radon pour la période 2009-2013.

Les atomes du radon se désintègrent pour donner des substances qui émettent ce que l'on appelle des rayonnements ionisants. En traversant les tissus, tels les bronches ou les poumons, ces rayonnements peuvent entraîner des lésions dans les cellules du corps, et provoquer des mutations des gènes. Ils sont donc cancérigènes. Les substances émises par le radon s'associent aux poussières contenues dans l'air que l'on respire. La peau est suffisamment épaisse pour ne pas être affectée, mais ce n'est pas le cas des bronches et des poumons. Plusieurs dizaines d'années peuvent s'écouler entre l'irradiation et l'apparition d'un cancer. Le risque du cancer du poumon augmente avec la concentration de radon dans l'air que l'on respire et avec la durée pendant laquelle on respire cet air.

Le radon constitue, pour la population française, la première cause d'irradiation naturelle. Il représente un peu plus du tiers de l'exposition moyenne aux rayonnements ionisants. À l'air libre, la quantité de radon gazeux est tellement faible qu'elle ne présente aucun risque pour la santé. Cependant, dans un espace confiné (dans les mines, dans les maisons, les bâtiments), le radon peut s'accumuler atteindre des niveaux relativement élevés.

• Ondes électromagnétiques

L’impact sur la santé des ondes électromagnétiques présentes dans l’environnement et en milieu professionnel est controversé. En particulier, le risque potentiel de cancers induits par les téléphones mobiles fait l’objet de nombreuses études mais dans l’état actuel des connaissances, la communauté scientifique n’a pas établi un lien entre leur utilisation et un risque accru de cancer. Une étude internationale portant sur cette problématique, l'étude INTERPHONE, initiée en 1999, a été publiée en mai 2010 et n'a pas mis en évidence d'augmentation du risque relatif de gliomes et de méningiomes dix ans et plus après la première utilisation de téléphone portable. Toutefois, en application du principe de précaution, et en attendant les résultats d'investigations complémentaires, le ministère de la santé a édicté des règles de « bon usage » du téléphone mobile.

Fiche Repère Téléphone mobile et risques de cancer (4.04 MB)


• Chlordécone


Le chlordécone est un insecticide organochloré largement utilisé dans les Antilles françaises entre 1973 et 1993 pour combattre le charançon du bananier. Très stable dans l'environnement, il est à l'origine d'une importante pollution des sols et des eaux et peut contaminer certaines denrées animales et végétales. De ce fait, les habitants de ces régions sont toujours exposés au chlordécone, dont des études ont montré dès 1989 le caractère cancérigène chez le rat et la souris. Le chlordécone est un perturbateur endocrinien, classé comme potentiellement cancérigène pour l'homme par le CIRC (groupe 2B).

En juin 2010, des chercheurs de l'Inserm ont publié les résultats d'une étude* qui est la première étude épidémiologique à montrer une possible association entre exposition au chlordécone et survenue d'un cancer de la prostate. Ses auteurs ont constaté une augmentation du risque de cancer de la prostate avec l'augmentation de la concentration plasmatique de chlordécone : OR 1.77 ; 95% IC 1.21-2.58 (analyse multivariée) pour des concentrations supérieures à 0.96µg/L. Une augmentation du risque est également observée pour des expositions cumulées : OR 1.73; 95% IC 1.04-2.88 pour le quartile le plus élevé (analyse multivariée). Les résultats observés conduisent les auteurs à suggérer que l'association entre l'exposition au chlordécone et le risque de cancer de la prostate pourrait être affectée par des mutations génétiques en lien avec des facteurs environnementaux relatifs à l'alimentation et au mode de vie.

Les auteurs estiment que des investigations complémentaires sont nécessaires. Afin de poursuivre les efforts déjà engagés, le Ministère de la santé prépare un second Plan Chlordécone.

Source : Agence nationale sanitaire et scientifique en cancérologie

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